15 novembre 2010
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Femme ma déchirure
Blonde et profonde
Ourlée par les étangs
Gris de l’incertitude
Femme ma démesure
Qui galope à s’y perdre
Folle et pathétique course
Alors que je t’ai reconnue
Femme ma blessure
Qui s’entête à ne pas croire
A la vraie vie au bel espoir
Alors que tu m’as trouvé
Femme ma poudre d’or pur
Pépite d’amour dans le cœur
Qu’encore personne n’a révélée
Ouvre tes yeux : j’existe